A utiliser en cas d'urgence...

Magnifique: si vous avez bien regardé, il y a écrit aM sur la cartouche. C' est donc une cartouche utilisée sur les automitrailleuses....

j' en déduit donc qu' il s' agit d' une cartouche fusible ( 10 x 38 ) capable de couper la chique d' un ancien pilote d' AM en cas ou y déconnerait encore sur le Président.
Le calibre est faible: 1 Ampère aM, c' est à dire l' accompagnement moteur pour 1.5 kw en triphasé.
Mais attention, dans sa conception, cette cartouche fusible est prévue pour encaisser le courant de démarrage, sept à dix fois le courant nominal sans fondre: environ 10 Ampères.
Par contre, elle a une efficacité diabolique puisqu' elle est capable d' interrompre un courant de court-circuit, donc une intervention débridée de 120 000 Ampères. Bah moi je dis qu' il me faut bien celà.

Bon c' est qui qu' a demandé ou il fallait la mettre ? Ben y a pas de réponse !!!

Je crois que le fusible me concerne... avec le mistral qui fait sauter mon disjoncteur... Il est vrai que je n'y connais rien en fusible et que je ne sais même pas où je dois aller en acheter... Véridique !

Alain a écrit:MOUAIS...

Et pourtant quand j'étais au collège on m'avait appris qu'il vaut toujours mieux couper les douilles du compteur que les c... du dompteur.

Et puis, pour relativiser les risques vis à vis de la DDT DST que nous pourrions prendre en ne maitrisant pas la libre expression débridée émanant de ce forum dès lors que l'on voudrait gloser un peu hard sur notre Chanoine Président, je vous suggère de taper "érection pestilentielle" dans la fenêtre Google de votre butineur favori et de vous rincer l'œil en lisant tout ce qui a été écrit sur le sujet.

À la fin de la quatrième page de liens, je n'avais toujours pas trouvé trace de notre génial forum favori.

Vanitas vanitatum, nous ne sommes donc rien et les RG nous ignoreraient superbement ?
À quoi ça sert qu'on déconne alors ?

Ah et puis tient, comme on est toujours pas repérés sur le ouèbe, je vais vous en conter une bien bonne sur notre Chanoine Président :

Notre Chanoine Président visite une école primaire et s'adresse à une classe de CM1.
Il s'adresse à un groupe d'enfants âgés entre sept et huit ans :
"Tous les jours, à la télévision, vous entendez parler de tragédies... Qui peut me donner un exemple de ce qu'est une tragédie."

Plusieurs élèves lèvent la main et le Chanoine Président interroge le premier d'entre eux.
Le gamin explique : "Un petit garçon qui joue au ballon dans la rue et se fait écraser par une voiture, c'est une tragédie."
Le président répond : "Non, ce serait certes tragique mais dans ce cas, on parlerait plutôt d'accident."

Un autre enfant propose alors : "Si quelqu'un mise tout son argent au loto, qu'il perd et qu'il n'a plus un sou, c'est une tragédie."
"Non, là il s'agirait plutôt d'une grosse perte...Quelqu'un a une autre idée ?"

Dans le fond de la classe, une main se lève: "Et si quelqu'un vous assassinait dans la rue, ce serait bien une tragédie, non ?"

Le président tout sourire réplique: "Oui voila un bon exemple, tu peux expliquer à tes camarades pour quelles raisons ce serait une tragédie."

L'enfant: " Et bien, ce ne serait pas un accident et certainement pas une grosse perte non plus, donc ce serait forcément une tragédie."

Bon comme je suis inspiré, je vais lâcher le Président et vous en raconter une sur le troisième membre du Dieu trine.

Aux portes du Paradis, St-Pierre a une course urgente à faire.
Comme il aperçoit son ami Jésus qui se balade à proximité, il lui demande:
"Hé Jésus, tu pourrais me remplacer au bureau une heure ou deux ?"

Jésus répond: "Bien sur, que faut-il que je fasse ?"
St-Pierre explique: "Facile, tu accueilles les gens et tu leur demandes quelques renseignements sur leur passé.

S'ils te paraissent digne de foi, tu les envoies au Paradis..."

Aussitôt installé sur le siège de St-Pierre, Jésus voit arriver un vieillard et lui demande : "qu'as-tu fait dans ta vie ?"

L'homme explique : "Je travaillais le bois... J'étais charpentier."
Jésus se souvenant de ses jeunes années demande alors : "Ah oui ? Et vous aviez de la famille ?"

"Oui, répond le vieillard, J'avais un fils mais je l'ai perdu..."

Jésus reprend : "Parlez-moi de lui... Comment était-il quand vous l'avez perdu ?"

Le vieil homme explique: "C'était un être d'une grande bonté. Il serait facile à reconnaître, il avait des trous dans les mains et dans les pieds..."

Jésus s'écrie : "Papa !"

Le vieillard s'écrie : "Pinocchio !"