le Hoggar vu d'ici
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le Hoggar vu d'ici
Le Val de Saone reçoit: Gilbert Petit “Les Carnets d’un saharien” Roman
Publié le 27 mai 2009 par A360
Gilbert PETIT , est passionné d’histoire, d’art et de littérature, Lors d’un voyage en 1965, où faute de budget, il sédentarisera autour de Tamanrasset, il tombera sous le charme des Touaregs Dag Ghali, dont il partagera, pour un temps, la vie âpre et noble. Par la suite, il fait de nombreux voyages dans le Sahara où les leçons de vie des nomades Touareg sont toujours des enseignements précieux.. Pour lui, le voyage se conçoit seul ou à deux, et à pied, sous la conduite de guides locaux. C’est la seule façon, de dérouler le temps nécessaire pour connaître les gens du pays, vivre avec eux et partager ensemble, l’économie du rien. Gilbert PETIT consacre son temps à l’enseignement en France et à l’étranger.
Les « CARNETS D’UN SAHARIEN avec signature de l’auteur durant l’exposition les 3 et 4 Juillet à Parcieux retracent un épisode des expéditions qui opposèrent en 1916 et 17, l’armée française aux tribus dissidentes du Sud algérien. Bien que très documenté sur la vie des méharistes, des personnages historiques de l’époque et des Touareg, ce roman est une plus une réflexion humaniste qu’un témoignage historique.
Le style narratif du journal d’un officier, permet à l’auteur de décrire les émotions, les extases et les envoûtements qu’il a ressentis au jour-le-jour au cours de ses séjours au Sahara. Le désert est pour lui, comme une vieille maîtresse, dont la fidélité tentaculaire a façonné ce roman
Les Editions Edilivre 56 Rue de Londres 75008 Paris
www.edilivre.com
Tags: Carnets d'un Saharien, Gibert Petit
Publié le 27 mai 2009 par A360
Gilbert PETIT , est passionné d’histoire, d’art et de littérature, Lors d’un voyage en 1965, où faute de budget, il sédentarisera autour de Tamanrasset, il tombera sous le charme des Touaregs Dag Ghali, dont il partagera, pour un temps, la vie âpre et noble. Par la suite, il fait de nombreux voyages dans le Sahara où les leçons de vie des nomades Touareg sont toujours des enseignements précieux.. Pour lui, le voyage se conçoit seul ou à deux, et à pied, sous la conduite de guides locaux. C’est la seule façon, de dérouler le temps nécessaire pour connaître les gens du pays, vivre avec eux et partager ensemble, l’économie du rien. Gilbert PETIT consacre son temps à l’enseignement en France et à l’étranger.
Les « CARNETS D’UN SAHARIEN avec signature de l’auteur durant l’exposition les 3 et 4 Juillet à Parcieux retracent un épisode des expéditions qui opposèrent en 1916 et 17, l’armée française aux tribus dissidentes du Sud algérien. Bien que très documenté sur la vie des méharistes, des personnages historiques de l’époque et des Touareg, ce roman est une plus une réflexion humaniste qu’un témoignage historique.
Le style narratif du journal d’un officier, permet à l’auteur de décrire les émotions, les extases et les envoûtements qu’il a ressentis au jour-le-jour au cours de ses séjours au Sahara. Le désert est pour lui, comme une vieille maîtresse, dont la fidélité tentaculaire a façonné ce roman
Les Editions Edilivre 56 Rue de Londres 75008 Paris
www.edilivre.com
Tags: Carnets d'un Saharien, Gibert Petit
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici - la Mosquée des Dag Ghali
La Mosquée des Dag Ghali (prononcer Dag Rali) est située au pied du pic Ilamane (2760m) :
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On aperçoit à l'arrière plan, la piste sinueuse qui descend depuis l'Ilamane.
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Très originale, la Mosquée des Dag Ghali est constituée de colonnes prismatiques de basalte :
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J'ai lu quelles avaient été "disposées par un valeureux prédicateur du VIIe ou du VIIIe siècle, Roui Ilamane".
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J'ai relu une partie du livre de Claude BLANGUERNON, le Hoggar, qui date de 1955.
Antérieur à mon "séjour" en 1962-1963, il me sert de référence en raison de son ancienneté.
Et il me sert également comme élément de comparaison avec les écrits plus récents.
Son vocabulaire y est assez particulier - il parle de chameau - mais il est très détaillé.
Il parle plusieurs fois des Dag Rali, de leur territoire montagnard de nomadisme - Atakor et Arechchoum .
Il parle de leurs coutumes, de leurs domestiques, de leurs élevage, de leur richesse.
J'en extrait quelques données destinées à me rafraichir la mémoire.
-
Les Dag Ghali font partie des groupes touaregs de l'Ahaggar qui forment une société hiérarchisées.
C'est la plus importante tribu imrad - vassale - des Kel Rela, la tribu noble - Imohagh - la plus importante.
Les Kel Rela seraient les descendants de Tin Hiran, première reine touareg.
Les nobles peuvent aller n'importe où, alors que les territoires de nomadisme des imrad sont limités.
Chaque tribu imrad paie une redevance - tioussé - à l’amenokal, le chef suprême, régnant sur l'ensemble des tribus.
Le dernier amenokal, mort en 1975, était un Kel Rela.
Les Dag Ghali seraient, eux, les descendants de Takamat, la suivante - servante - de Tin Hiran.
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On aperçoit à l'arrière plan, la piste sinueuse qui descend depuis l'Ilamane.
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Très originale, la Mosquée des Dag Ghali est constituée de colonnes prismatiques de basalte :
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J'ai lu quelles avaient été "disposées par un valeureux prédicateur du VIIe ou du VIIIe siècle, Roui Ilamane".
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J'ai relu une partie du livre de Claude BLANGUERNON, le Hoggar, qui date de 1955.
Antérieur à mon "séjour" en 1962-1963, il me sert de référence en raison de son ancienneté.
Et il me sert également comme élément de comparaison avec les écrits plus récents.
Son vocabulaire y est assez particulier - il parle de chameau - mais il est très détaillé.
Il parle plusieurs fois des Dag Rali, de leur territoire montagnard de nomadisme - Atakor et Arechchoum .
Il parle de leurs coutumes, de leurs domestiques, de leurs élevage, de leur richesse.
J'en extrait quelques données destinées à me rafraichir la mémoire.
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Les Dag Ghali font partie des groupes touaregs de l'Ahaggar qui forment une société hiérarchisées.
C'est la plus importante tribu imrad - vassale - des Kel Rela, la tribu noble - Imohagh - la plus importante.
Les Kel Rela seraient les descendants de Tin Hiran, première reine touareg.
Les nobles peuvent aller n'importe où, alors que les territoires de nomadisme des imrad sont limités.
Chaque tribu imrad paie une redevance - tioussé - à l’amenokal, le chef suprême, régnant sur l'ensemble des tribus.
Le dernier amenokal, mort en 1975, était un Kel Rela.
Les Dag Ghali seraient, eux, les descendants de Takamat, la suivante - servante - de Tin Hiran.
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Dernière édition par marcel le Dim 27 Sep - 23:23, édité 1 fois
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Marcel Couchot : 15-06-1938. ESAA Nîmes. Rejoint le 620è GAS à In-Amguel dans le Hoggar le 24/04/1962 comme Sous-Lieutenant. Affecté à la BMDD, participe à l'expérience BERYL à In Eker du 01/05/1962. Resté sur le site jusqu'en Avril 1963.
Re: le Hoggar vu d'ici
Je n'en avais jamais entendu parler.
Je vais de ce pas me documenter un peu, c'est bon, le forum, non ? on apprend chaque jour quelque chose de nouveau !
Merci, Marcel
Je vais de ce pas me documenter un peu, c'est bon, le forum, non ? on apprend chaque jour quelque chose de nouveau !
Merci, Marcel
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: le Hoggar vu d'ici
Marcel, tu ne cesses pas de m'étonner, je suis curieux de connaître le nombre de photos que tu as prises lorsque tu étais là-bas
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici ... et quand j'étais la bas
J'ai eu une chance inouïe : on m'a prété une Rétinette Kodak pendant mon Service à In Eker.je suis curieux de connaître le nombre de photos que tu as prises lorsque tu étais là-bas
Je ne sais plus qui, je ne sais plus pourquoi, je ne sais plus comment... Un grand merci à lui !
En tout cas, j'en ai profité au maximum, ou presque... Ah, si j'avais su faire des images stéréo !
Je dois avoir 12 boites de 36 poses en couleurs, soit plus de 400 diapositives.
Les diapos ont quand même 46 ans, avec un cache en carton qui s'use lorsqu'on le manipule.
Je dois les nettoyer soigneusement avec un pinceau, mais il resté quand même un peu de poussière.
La fraîcheur de ces photographies développées en 1963 est étonnante. Un grand bravo à Kodak !
Et dans mon album, les tirages 18x24 cm en Cibachrome sont aussi nets que lorsqu'on me les a livrés.
Aurais-je la patience de finir de scanner toutes ces diapos et de les mettre sur un CD ?
-
J'ai aussi 40 pochettes de 8 négatifs 6x9 et 4,5x6 noir et blanc, soit 500 tirages environ.
Dont une dizaine de couples de photos stéréoscopiques au format moitié 4,5x6.
Je les ai toutes faites avec mon Voigtlander pliant pour bobines 125.
Une fois plié, l'appareil tenait dans la poche de mon treillis où il était absolument invisible.
J'ai chargé mon photographe de numériser tous ces négatifs N&B.
Quelle patience. Il utilise une technique originale : il les photographie !
Il pose le négatif sur un dépoli qu'il éclaire par dessous avec un flash déporté.
C'est beaucoup plus rapide qu'avec un scanner qui nécessite plusieurs passes.
-
Et surtout, j'ai eu la chance miraculeuse de faire et de conserver toutes ces images.
Alors que certains n'ont malheureusement pas eu le moyen d'en faire.
Ou bien, se les ont fait confisquer, et des plus précieuses que les miennes...
Je n'ai qu'un seul regret, celui de ne pas avoir fait plus de photographies encore !
-
Paradoxalement, j'avais commandé un appareil photo Reflex, grace à la revue TAM.
Mon choix s'était porté sur un EDIXA, mais je ne l'ai jamais utilisé au Sahara :
dès réception du paquet, je l'ai réexpédié chez moi à Monaco !
De même qu'un projecteur Prestinox qui a suivi le même parcours.
Comment aurais-je pu ramener tout ça dans mon sac militaire et ma cantine ?
_________________
Marcel Couchot : 15-06-1938. ESAA Nîmes. Rejoint le 620è GAS à In-Amguel dans le Hoggar le 24/04/1962 comme Sous-Lieutenant. Affecté à la BMDD, participe à l'expérience BERYL à In Eker du 01/05/1962. Resté sur le site jusqu'en Avril 1963.
Re: le Hoggar vu d'ici
Dermanou est un Kel Rela, le dernier campement de l'amenokal est tout près de celui de sa famille, subsistent quelques traces dont voici les photos
ENTREPOTS POUR LES RESERVES ALIMENTAIRES
INTERIEUR
AU SOL ON VOIT LES RESTES DES ZERIBAS
Il est assez étonnant de voir ces vestiges malgré leur âge, j'ai oublié la date exacte de l'abandon du campement, mais cela a suivi peu de temps après la mort de l'amenokal.
Il y a toujours un amenokal, mais sa fonction n'est plus qu'un mirage, il est toutefois respecté par les siens. On ne sait jamais............
ENTREPOTS POUR LES RESERVES ALIMENTAIRES
INTERIEUR
AU SOL ON VOIT LES RESTES DES ZERIBAS
Il est assez étonnant de voir ces vestiges malgré leur âge, j'ai oublié la date exacte de l'abandon du campement, mais cela a suivi peu de temps après la mort de l'amenokal.
Il y a toujours un amenokal, mais sa fonction n'est plus qu'un mirage, il est toutefois respecté par les siens. On ne sait jamais............
Re: le Hoggar vu d'ici
Marcel a dit
J'ai eu une chance inouïe : on m'a prété une Rétinette Kodak pendant mon Service à In Eker....
Bravo! ...et nous avons la chance d'en profiter.
Je suis parti là-bas, avec l'intention de faire un maximum de Photos. J'avais un Savoy Royer, un appareil curieux qui avait l'allure d'un réflex mais avec objectif fixe. Je ne réussissait pas à faire de bonnes photos, il devait avoir un défaut. Aussi, j'ai commandé chez Phox un Zeiss-Ikon Contessa LKE. J'en était très content, au point qu'il m'arrivait encore de l'utiliser dans les années 90, avant de me le faire voler.
J'étais sédentaire, affecté à la base vie et en 66 les possibilités d'escapades ont été limitées pour raisons de sécurité. Conséquences : peu de déplacements et 120 photos environ, pour une bonne partie sans grand intérêt.
J'ai eu une chance inouïe : on m'a prété une Rétinette Kodak pendant mon Service à In Eker....
Bravo! ...et nous avons la chance d'en profiter.
Je suis parti là-bas, avec l'intention de faire un maximum de Photos. J'avais un Savoy Royer, un appareil curieux qui avait l'allure d'un réflex mais avec objectif fixe. Je ne réussissait pas à faire de bonnes photos, il devait avoir un défaut. Aussi, j'ai commandé chez Phox un Zeiss-Ikon Contessa LKE. J'en était très content, au point qu'il m'arrivait encore de l'utiliser dans les années 90, avant de me le faire voler.
J'étais sédentaire, affecté à la base vie et en 66 les possibilités d'escapades ont été limitées pour raisons de sécurité. Conséquences : peu de déplacements et 120 photos environ, pour une bonne partie sans grand intérêt.
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
Merci Za pour tes photos et tes commentaires
Je m'interroge sur la place des Touareg dans la société actuelle du Hoggar.
Je n'ai pas trouvé de statistiques, mais il semblerait qu'il y ait une paupérisation et une marginalisation de leur peuple.
Et leur culture, qu'en est-il? Est-ce qu'il y a une réelle volonté de la préserver?
Je m'interroge sur la place des Touareg dans la société actuelle du Hoggar.
Je n'ai pas trouvé de statistiques, mais il semblerait qu'il y ait une paupérisation et une marginalisation de leur peuple.
Et leur culture, qu'en est-il? Est-ce qu'il y a une réelle volonté de la préserver?
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
Hélène Claudot-Hawad a écrit un livre (parmi tant d'autres) EPERONNER LE MONDE, en 2001, il est toujours d'actualité pour le point de cette société. Il est épuisé mais avec un peu de chance on peut le trouver en occas, sinon il est en lecture sur internet. Pour ce qui est de la jeunesse, beaucoup sont en perdition avec l'alcool et la drogue. Les nobles sont les plus pauvres parceque pas habitués à travailler et ils ont perdus tous leurs biens, entre autre leurs terres. Le grand père de Dermanou en possèdait beaucoup à Tam, le gouvernement a tout râflé. Et même s'ils ont la chance de travailler ça n'est jamais un emploi très gratifiant, juste de quoi vivoter. Pour résumer, tu imagines cette société libre mais tout de même avec des codes, passer du jour au lendemain dans un cadre étatique qui leur empêche de circuler librement, la base même de leur société. Merci l'europe !!!
Re: le Hoggar vu d'ici
Il y a quelques temps, j'ai découvert cette association: "La RAHLA - amicale des sahariens"
http://www.larahla.org/index.php?page=qui
Certains la connaissent-ils? et qu'en pensent-ils?
Elle me paraît sérieuse et il semble y avoir des projets intéressants en cours
http://www.larahla.org/index.php?page=qui
Certains la connaissent-ils? et qu'en pensent-ils?
Elle me paraît sérieuse et il semble y avoir des projets intéressants en cours
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
Je crois que JJ connait bien
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: le Hoggar vu d'ici
La Rahla ? Oui, j'en suis tout nouvel adhérent. Très haute qualité du bulletin trimestriel, une bibliothèque spécialisée, certainement exceptionnelle, ouverte au siège parisien le mercredi AM, des conférences, des activités régionales … A priori, que du bien !
A suivre !
A suivre !
Re: le Hoggar vu d'ici
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
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-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: le Hoggar vu d'ici
Je viens de recevoir ce matin le dernier bulletin :Christian SAVEL a écrit:Il y a quelques temps, j'ai découvert cette association: "La RAHLA - amicale des sahariens". Certains la connaissent-ils?
et un hors-série "Exploration du Ténéré" en 1927/28 par Charles Toubeau de Maisonneuve.
Re: le Hoggar vu d'ici
Merci J.J.O.
J'ai décidé d'adhérer,
je viens de recevoir le bulletin accompagné d'un exemplaire de la revue "le saharien"
J'ai décidé d'adhérer,
je viens de recevoir le bulletin accompagné d'un exemplaire de la revue "le saharien"
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
La revue est très intéressante,
des personnalités remarquables ont participé à sa rédaction,
je constate qu'il y a beaucoup d'anciens militaires, le président est un général, mais pour autant, çà n'a pas l'air d'être orienté
Za, tu as peut-être un avis?
des personnalités remarquables ont participé à sa rédaction,
je constate qu'il y a beaucoup d'anciens militaires, le président est un général, mais pour autant, çà n'a pas l'air d'être orienté
Za, tu as peut-être un avis?
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
c'est Jean-Jacques qui me l'a fait découvrir lors de mon passage chez lui, je ne peux donc donner mon avis. Je me demande si c'est seulement tourné vers le passé
Re: le Hoggar vu d'ici
Tourné vers le passé ? Pas seulement, même si c'est beaucoup.Françoise dite Zawiya a écrit:… Je me demande si c'est seulement tourné vers le passé
Le n° de juin comportait par exemple un article "Guides sahariens : quel avenir ?" de Pascal Lluch animateur de l'agence Hommes & montagnes
Re: le Hoggar vu d'ici
Pour vous faire une idée des articles parus dans la revue "La Ralha"
http://www.larahla.org/index.php?page=saharien_index
Un site à découvrir
http://www.regisbelleville.com/
http://www.larahla.org/index.php?page=saharien_index
Un site à découvrir
http://www.regisbelleville.com/
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
Pour ceux que cela intéresse, au Musée des Arts Premiers, quai Branly, sont exposés de nombreux objets provenant d'In-Amguel.
http://www.culture.fr/recherche/?typeSearch=collection&SearchableText=In%20Amguel&portal_type=CLT_Site_Note#categorie_2
http://www.culture.fr/recherche/?typeSearch=collection&SearchableText=In%20Amguel&portal_type=CLT_Site_Note#categorie_2
Christian S- Nombre de messages : 3062
Age : 77
Localisation : La Verpillière - Isère
Date d'inscription : 17/06/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
J'ai aussi trouvé dans le catalogue du Musée des objets concernant Mertoutek (1), Idelès (3), Kel Rela (55) et évidemment Tamanrasset. Avec le mot Hoggar, il y a 113 réponses. Voir les Peintures :
Sépulture du Père de Foucauld et du général Laperrine
L'Ahaal ou cour d'Amour au Hoggar
-
Il n'y a aucun petit objet : pointe de flèche, hache taillée ou polie, perle.
-
Il y a des mortiers (tindi), mais pas de pilons (iharen).
J'en possède deux grands, en granite rose, et deux petits :
-
-
Voir les détails ici
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Zawiya m'avait répondu.
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Sépulture du Père de Foucauld et du général Laperrine
L'Ahaal ou cour d'Amour au Hoggar
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Il n'y a aucun petit objet : pointe de flèche, hache taillée ou polie, perle.
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Il y a des mortiers (tindi), mais pas de pilons (iharen).
J'en possède deux grands, en granite rose, et deux petits :
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Voir les détails ici
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Zawiya m'avait répondu.
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Dernière édition par marcel le Ven 8 Jan - 19:43, édité 1 fois
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Marcel Couchot : 15-06-1938. ESAA Nîmes. Rejoint le 620è GAS à In-Amguel dans le Hoggar le 24/04/1962 comme Sous-Lieutenant. Affecté à la BMDD, participe à l'expérience BERYL à In Eker du 01/05/1962. Resté sur le site jusqu'en Avril 1963.
Re: le Hoggar vu d'ici
Christian SAVEL a écrit:Pour ceux que cela intéresse, au Musée des Arts Premiers, quai Branly, sont exposés de nombreux objets provenant d'In-Amguel.
http://www.culture.fr/recherche/?typeSearch=collection&SearchableText=In%20Amguel&portal_type=CLT_Site_Note#categorie_2
Merci Christian et Marcel pour ces infos.Lorsque les conditions climatiques seront plus clémentes j'irai en profiter
claudius- Membre d'honneur
- Nombre de messages : 830
Age : 83
Localisation : Région Parisienne
Date d'inscription : 09/04/2009
Re: le Hoggar vu d'ici
IMUHAR, UNE LEGENDE
Khénan, 11 ans, a toujours vécu à Paris. Alors que sa mère vient de mourir, son père, Najem, décide de l'emmener dans sa famille au Niger, parmi les Touareg. Au milieu du désert magnifique, Khénan va vivre des moments inoubliables. Avec son grand-père, Kénuni, sa tante, Tannes, ses cousins et cousines, il va découvrir une autre vie, la vie des « Imûhars », le nom que se sont donnés depuis toujours les Touaregs et qui signifie « être libre ». Entouré de sa nouvelle famille, Khénan va aussi apprendre à accepter la mort de sa mère qu'il n'oublie pas.
Réalisation : Jacques Dubuisson, 1997
Avec : Ibrahim Paris (Khénan), Mohamed Ixa (Najem), Mohamed Ichika (Kénuni), Rhali (Tannes), Atibou Aboubacar (Hamou), Oumou Algabid (Chadema)
Genre : Comédie dramatique
Pays : France
Mon avis
Un film pour adolescents ! Peu importe, les paysages sont magnifiques et c'est un bel éclairage sur les coutumes et la culture Imuhar.
Quelques plans font penser aux tableaux et dessins de Paul Elie Dubois, en particulier la joueuse d'amzad.
Khénan, 11 ans, a toujours vécu à Paris. Alors que sa mère vient de mourir, son père, Najem, décide de l'emmener dans sa famille au Niger, parmi les Touareg. Au milieu du désert magnifique, Khénan va vivre des moments inoubliables. Avec son grand-père, Kénuni, sa tante, Tannes, ses cousins et cousines, il va découvrir une autre vie, la vie des « Imûhars », le nom que se sont donnés depuis toujours les Touaregs et qui signifie « être libre ». Entouré de sa nouvelle famille, Khénan va aussi apprendre à accepter la mort de sa mère qu'il n'oublie pas.
Réalisation : Jacques Dubuisson, 1997
Avec : Ibrahim Paris (Khénan), Mohamed Ixa (Najem), Mohamed Ichika (Kénuni), Rhali (Tannes), Atibou Aboubacar (Hamou), Oumou Algabid (Chadema)
Genre : Comédie dramatique
Pays : France
Mon avis
Un film pour adolescents ! Peu importe, les paysages sont magnifiques et c'est un bel éclairage sur les coutumes et la culture Imuhar.
Quelques plans font penser aux tableaux et dessins de Paul Elie Dubois, en particulier la joueuse d'amzad.
Christian S- Nombre de messages : 3062
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Localisation : La Verpillière - Isère
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