Mon nom est Immeghar
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Mon nom est Immeghar
Je suis Immeghar, mon nom veut dire : le plus grand, le plus sage. J'aime raconter l'histoire de mon peuple, pour que les mémoires n'oublient jamais...
Les Touaregs sont des Berbères, peuple qui habite l'Afrique du Nord, depuis la préhistoire. On nous a souvent appelé "les hommes bleus", à cause de la couleur de nos vêtements et de notre peau foncée sur laquelle la teinture indigo déteint. Avant la colonisation par la France au début de XIXème siècle, on nous surnommait "Les Seigneurs du Désert".
Nous parlons le tamashek, une langue écrite dans un alphabet particulier, le tifinagh. Le soir, les familles aiment se réunir autour du feu pour boire le thé en chantant au rythme des battements de mains des poèmes en tamashek qui racontent l'histoire de nos peuples. Ce sont les mères qui apprennent à leurs enfants à écrire en tifinagh, car l'école est francophone.
La cérémonie du thé est l'occasion de se réunir autour d'un petit réchaud à braises où l'on pose une théière pleine de feuilles de thé et de menthe, avec beaucoup de sucre. On sert d'abord le premier thé, très fort, puis on rajoute de l'eau pour le deuxième thé, moins concentré et enfin on sert le troisième thé, plus léger. "Le premier thé est amer comme la vie, le second est fort comme l'amour et le dernier est doux comme la mort".
Nos vêtements sont simples, ils ont leur langage. Les hommes portent une ample robe, le boubou, sur un pantalon large retenu par une ceinture de cuir. Un proverbe dit : "la femme est la ceinture du pantalon, sans la femme, l'homme est nu". Un chèche, le taguelmoust, d'environ 4-5 mètres de long, s'enroule sur la tête pour protéger du vent, du soleil, du sable et du froid de la nuit. L'homme ne quitte jamais son chèche, qui peut être de différentes couleurs qui ont une signification spéciale : le blanc en signe de respect, l'indigo de lin pour les jours de fête et quand il fait plus froid, car il est plus épais que celui en coton. Chaque manière de le draper, plus ou moins remonté sur la bouche ou le nez, indique une attitude : respectueux, agressif, triste...
Les femmes se couvrent la tête d'un voile qu'elles laissent d'avantage voler au vent. Les tissus de leurs robes et de leurs voiles sont teints aussi à l'indigo. Elle se maquille les yeux avec du khôl, se couvrent les mains de motifs peints au henné et portent de lourds bijoux en argent.
Chaque tribu possède sa croix en argent. C'est elle qui nous aide pour reconnaître une tribu amie ou ennemie.
Les Touaregs craignent les génies qui peuplent le désert, cachés dans les puits, les terriers, les rochers, car ils se nourrissent de cadavres. Il vaut mieux se voiler la bouche pour les empêcher d'y entrer... Pour se protéger, chaque Touareg porte autour de son cou un talisman. C'est une petite boîte en cuir ou en argent, qui contient des paroles du Coran. Comme tous les musulmans, nous prions cinq fois par jour, prosternés sur un petit tapis en direction de l'Est, là où se trouve la Mecque.
Pour la cérémonie du mariage, la mariée reçoit de sa famille une dot, composée d'une tente avec tout ce qu'il faut pour y vivre. En cas de divorce, l'homme s'en ira et c'est la femme qui gardera tout.
Le dromadaire est note fidèle compagnon. C'est notre moyen de transport : il peut porter les hommes et les marchandises. Le dromadaire est capable de faire une réserve de 135 litres d'eau et de 50 kg de nourriture avant de parcourir le désert pendant une semaine. Ses longs poils dans les narines et ses doubles rangées de cils lui font une bonne protection conter les tempêtes de sable. Sa laine est tissée pour faire des vêtements et son cuir donne les selles, les sacs, les ceintures, les sandales et les fourreaux des couteaux.
Avec son urine, nous désinfectons les plaies. Le méhari est le dromadaire blanc, fin et élancé, dressé pour la course.
La femelle dromadaire donne son lait, ce qui a valu à mon peuple d'inventer le lait en poudre.
Nous élevons aussi des chèvres qui donnent le lait et la viande. La peau de chèvre cousue pour faire une outre, sert de réserve pour l'eau que l'on transporte accrochée sous le ventre des ânes. Quand un groupe fait étape dans une oasis, il échange le lait, la viande et le cuir contre la semoule, la farine de blé, l'huile, le sucre, le thé et le tissu.
Les Touaregs sont des Berbères, peuple qui habite l'Afrique du Nord, depuis la préhistoire. On nous a souvent appelé "les hommes bleus", à cause de la couleur de nos vêtements et de notre peau foncée sur laquelle la teinture indigo déteint. Avant la colonisation par la France au début de XIXème siècle, on nous surnommait "Les Seigneurs du Désert".
Nous parlons le tamashek, une langue écrite dans un alphabet particulier, le tifinagh. Le soir, les familles aiment se réunir autour du feu pour boire le thé en chantant au rythme des battements de mains des poèmes en tamashek qui racontent l'histoire de nos peuples. Ce sont les mères qui apprennent à leurs enfants à écrire en tifinagh, car l'école est francophone.
La cérémonie du thé est l'occasion de se réunir autour d'un petit réchaud à braises où l'on pose une théière pleine de feuilles de thé et de menthe, avec beaucoup de sucre. On sert d'abord le premier thé, très fort, puis on rajoute de l'eau pour le deuxième thé, moins concentré et enfin on sert le troisième thé, plus léger. "Le premier thé est amer comme la vie, le second est fort comme l'amour et le dernier est doux comme la mort".
Nos vêtements sont simples, ils ont leur langage. Les hommes portent une ample robe, le boubou, sur un pantalon large retenu par une ceinture de cuir. Un proverbe dit : "la femme est la ceinture du pantalon, sans la femme, l'homme est nu". Un chèche, le taguelmoust, d'environ 4-5 mètres de long, s'enroule sur la tête pour protéger du vent, du soleil, du sable et du froid de la nuit. L'homme ne quitte jamais son chèche, qui peut être de différentes couleurs qui ont une signification spéciale : le blanc en signe de respect, l'indigo de lin pour les jours de fête et quand il fait plus froid, car il est plus épais que celui en coton. Chaque manière de le draper, plus ou moins remonté sur la bouche ou le nez, indique une attitude : respectueux, agressif, triste...
Les femmes se couvrent la tête d'un voile qu'elles laissent d'avantage voler au vent. Les tissus de leurs robes et de leurs voiles sont teints aussi à l'indigo. Elle se maquille les yeux avec du khôl, se couvrent les mains de motifs peints au henné et portent de lourds bijoux en argent.
Chaque tribu possède sa croix en argent. C'est elle qui nous aide pour reconnaître une tribu amie ou ennemie.
Les Touaregs craignent les génies qui peuplent le désert, cachés dans les puits, les terriers, les rochers, car ils se nourrissent de cadavres. Il vaut mieux se voiler la bouche pour les empêcher d'y entrer... Pour se protéger, chaque Touareg porte autour de son cou un talisman. C'est une petite boîte en cuir ou en argent, qui contient des paroles du Coran. Comme tous les musulmans, nous prions cinq fois par jour, prosternés sur un petit tapis en direction de l'Est, là où se trouve la Mecque.
Pour la cérémonie du mariage, la mariée reçoit de sa famille une dot, composée d'une tente avec tout ce qu'il faut pour y vivre. En cas de divorce, l'homme s'en ira et c'est la femme qui gardera tout.
Le dromadaire est note fidèle compagnon. C'est notre moyen de transport : il peut porter les hommes et les marchandises. Le dromadaire est capable de faire une réserve de 135 litres d'eau et de 50 kg de nourriture avant de parcourir le désert pendant une semaine. Ses longs poils dans les narines et ses doubles rangées de cils lui font une bonne protection conter les tempêtes de sable. Sa laine est tissée pour faire des vêtements et son cuir donne les selles, les sacs, les ceintures, les sandales et les fourreaux des couteaux.
Avec son urine, nous désinfectons les plaies. Le méhari est le dromadaire blanc, fin et élancé, dressé pour la course.
La femelle dromadaire donne son lait, ce qui a valu à mon peuple d'inventer le lait en poudre.
Nous élevons aussi des chèvres qui donnent le lait et la viande. La peau de chèvre cousue pour faire une outre, sert de réserve pour l'eau que l'on transporte accrochée sous le ventre des ânes. Quand un groupe fait étape dans une oasis, il échange le lait, la viande et le cuir contre la semoule, la farine de blé, l'huile, le sucre, le thé et le tissu.
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
Merci du compliment ! Pratiquement 2 heures de travail... la recherche sur plusieurs sites pour créer l'histoire et pour chercher les photos adéquates, ainsi que pour chercher le prénom magique, avec sa signification, de mon conteur le Touareg. Le temps de taper le tout à l'ordi et surtout le temps d'insérer les photos sur le forum... (copier, coller, prévisualiser, centrer, et on recommence...) Je me suis régalé à faire ce sujet, mais je ne le ferai pas tous les jours...
Dernière édition par le Jeu 10 Jan - 19:29, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
Très beau travail, Vava.
Tu vois ces campements, avec les tentes très basses, on nous envoyait à leur rencontre pour leur dire de plier les gaules et de partir beaucoup plus loin de la montagne. Avec certains, ça se passait sans encombres. On était invité à prendre le thé. on causait un long moment de la soirée, avec quelques mots de Français et quelque mots d' arabe et force gestes et mimes. Et on bivouaquait là à proximité et au petit matin, on voyait la caravane s' éloigner dans la direction opposée au Tan Afellah. Mission terminée. L' ALAT nous renseignait sur la direction qu' ils prenaient .
Avec d' autres, la conversation était plus délicate. Il faut partir, le Tan Afellah boum !! Roua, roua en montrant la piste dans le sens opposé. La réponse : maccache wallou. Bachi Mzienne partir.
la discution durait, mais pas un millimètre de recul de la part de nos interlocuteurs. Alors par radio, on appelait nos petits copains du train à la rescousse avec leurs GBO ou leurs gazelles. Et ils chargeaient tout le campement sous les vociférations des fatmas et des iaouleds. On avait droit aux youyoux. Et on roulait sur plusieurs km pour donner un nouvel emplacement. Discutions et palabres parce qu' il fallait que la place dispose d' eau et de pâturage pour les chameaux.
Il est arrivé une fois qu' en une nuit, ils étaient refvenus à leur premier emplacement. Rebelotte.
Tu vois ces campements, avec les tentes très basses, on nous envoyait à leur rencontre pour leur dire de plier les gaules et de partir beaucoup plus loin de la montagne. Avec certains, ça se passait sans encombres. On était invité à prendre le thé. on causait un long moment de la soirée, avec quelques mots de Français et quelque mots d' arabe et force gestes et mimes. Et on bivouaquait là à proximité et au petit matin, on voyait la caravane s' éloigner dans la direction opposée au Tan Afellah. Mission terminée. L' ALAT nous renseignait sur la direction qu' ils prenaient .
Avec d' autres, la conversation était plus délicate. Il faut partir, le Tan Afellah boum !! Roua, roua en montrant la piste dans le sens opposé. La réponse : maccache wallou. Bachi Mzienne partir.
la discution durait, mais pas un millimètre de recul de la part de nos interlocuteurs. Alors par radio, on appelait nos petits copains du train à la rescousse avec leurs GBO ou leurs gazelles. Et ils chargeaient tout le campement sous les vociférations des fatmas et des iaouleds. On avait droit aux youyoux. Et on roulait sur plusieurs km pour donner un nouvel emplacement. Discutions et palabres parce qu' il fallait que la place dispose d' eau et de pâturage pour les chameaux.
Il est arrivé une fois qu' en une nuit, ils étaient refvenus à leur premier emplacement. Rebelotte.
MEDRANO- Membre d'honneur
- Nombre de messages : 2941
Age : 80
Localisation : Auvergne
Date d'inscription : 05/01/2008
La légende d'Amanar, contée par Immeghar
Notre peuple est habitué à observer le ciel. Une constellation du nom d'Amanar (Orion chez vous) a pour nous une importance capitale.
Il faut prolonger le segment passant par Alnilam et Heka (trois petites étoiles au-dessus de Bellatrix et Bételgeuse). Continuer un petit peu et vous verrez Alpha Polaris, l'étoile du Pôle Nord...
Etoile magique pour nous... Nous pouvons alors trouver notre chemin quand nous marchons en peline nuit dans le Désert, d'où son nom : Amanar, "le Guide".
Mais que fait Amanar, là-haut, dans le ciel ?
Voici son histoire, telle que nous la racontons à nos enfants et nos petits enfants.
Amanar avait fait une chose qui ne se fait pas chez nous, une chose ignoble, impardonnable... Il avait osé gifler sa mère !
Pour celà, Amanar a été puni par les Dieux, en étant crucifié dans le ciel tout en subissant deux supplices : le feu à l'épaule (c'est la couleur rouge de Bételgeuse) et le froid aux pieds (c'est la couleur bleue de Rigel).
Voici donc la légende d'Amanar, pour vous expliquer tout l'intérêt que nous portons au ciel et aux étoiles, pour raconter, le soir au coin du feu, tout ce que nous observons la nuit, pendant nos voyages.
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
La suite d'Immeghar viendra... pour l'instant, je suis trop prise par mon travail pour me pencher sur le sujet. Non non, je ne déserte pas le forum, même si ça fait plusieurs jours que je n'ai pas posté... mais je lis tous les jours vos messages... je suis seulement trop fatiguée en revenant du travail le soir pour écrire...
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
Je recherchais mon histoire depuis quelques jours, là voilà ! Je l'ai enfin retrouvé ! J'ai très envie de parler du Sahara à Elouan et je cherchais des idées et des photos.
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
C'est vrai, avant de rencontrer "ce garçon" , tu en faisais, des choses !!!
_________________
Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: Mon nom est Immeghar
Voui... mais maintenant avec ton petit-fils qui est curieux comme une belette j'ai encore moins de temps Mais très envie de lui conter le désert de ses Papy...
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
Pour Valou et Elouan....et tous: une distraction et des préparation culinaires..enfin presque!
Alain P- Nombre de messages : 7787
Age : 83
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 07/02/2009
Re: Mon nom est Immeghar
Pendant notre séjour, je n'ai mangé aucune nourriture locale...
Au cours de nos 2 voyages, nous avons mangé beaucoup de crudités, sardine ou thon ou des œufs (en fait, très peu de protéines), et le soir, un petit morceau de viande séchée cuite dans une soupe de légumes...
Seule spécialité, la taguéla, pain de semoule de couscous cuit dans la braise sous le sables, cassé en morceaux dans la soupe...
Rien de bien exotique...
Au cours de nos 2 voyages, nous avons mangé beaucoup de crudités, sardine ou thon ou des œufs (en fait, très peu de protéines), et le soir, un petit morceau de viande séchée cuite dans une soupe de légumes...
Seule spécialité, la taguéla, pain de semoule de couscous cuit dans la braise sous le sables, cassé en morceaux dans la soupe...
Rien de bien exotique...
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: Mon nom est Immeghar
Merci beaucoup Alain pour la vidéo !!!!!!!!!!
Je suis allé voir sur le net pour la nourriture locale. Comme tu dis Papa, rien de particulier avec très peu de protéines. Comme par exemple le couscous qui ne ressemble pas du tout à celui que nous connaissons : c'est de la semoule gros grains avec énormément de légumes. Pas de viande. Ils disent même que le véritable couscous vient de chez eux et qu'ensuite les gens ont ajouté de la viande pour attirer les touristes. Ils déplorent aussi le fait que nous mangions des couscous avec plusieurs sortes de viandes, ce qui dénaturerait leur plat.
Et puis des dattes... Consommées telles quelles, en purée, dans les plats salés, dans les dessert.
Je vais donc faire un couscous aux légumes, Elouan devrait beaucoup aimer (oui il mange des légumes ) quad nous parlerons du Sahara. J'aime bien lui faire un plat local quand nous "visitons" un pays ou un continent, ça met dans l'ambiance
Je suis allé voir sur le net pour la nourriture locale. Comme tu dis Papa, rien de particulier avec très peu de protéines. Comme par exemple le couscous qui ne ressemble pas du tout à celui que nous connaissons : c'est de la semoule gros grains avec énormément de légumes. Pas de viande. Ils disent même que le véritable couscous vient de chez eux et qu'ensuite les gens ont ajouté de la viande pour attirer les touristes. Ils déplorent aussi le fait que nous mangions des couscous avec plusieurs sortes de viandes, ce qui dénaturerait leur plat.
Et puis des dattes... Consommées telles quelles, en purée, dans les plats salés, dans les dessert.
Je vais donc faire un couscous aux légumes, Elouan devrait beaucoup aimer (oui il mange des légumes ) quad nous parlerons du Sahara. J'aime bien lui faire un plat local quand nous "visitons" un pays ou un continent, ça met dans l'ambiance
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
J'étais entré dans un restaurant qui affichait "couscous le jeudi".Valou a écrit:Ils disent même que le véritable couscous vient de chez eux et qu'ensuite les gens ont ajouté de la viande pour attirer les touristes.
Comme je suis végétarien, j'avais demandé si je pouvais avoir un "couscous légume".
On m'avait répondu qu'il y aurait un supplément "parce qu'il fallait enlever la viande"...
_________________
Marcel Couchot : 15-06-1938. ESAA Nîmes. Rejoint le 620è GAS à In-Amguel dans le Hoggar le 24/04/1962 comme Sous-Lieutenant. Affecté à la BMDD, participe à l'expérience BERYL à In Eker du 01/05/1962. Resté sur le site jusqu'en Avril 1963.
Re: Mon nom est Immeghar
Si tu crois que c'est facile... le chien était en vacances !!!
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: Mon nom est Immeghar
Comme quoi, entre la réalité et les infos sur le net il y a un gouffre....
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
marcel a écrit:J'étais entré dans un restaurant qui affichait "couscous le jeudi".Valou a écrit:Ils disent même que le véritable couscous vient de chez eux et qu'ensuite les gens ont ajouté de la viande pour attirer les touristes.
Comme je suis végétarien, j'avais demandé si je pouvais avoir un "couscous légume".
On m'avait répondu qu'il y aurait un supplément "parce qu'il fallait enlever la viande"...
J'aime... car en réalité c'est d'une logique imparable..... J'aurais aimé que cela m'arriva pour connaître ma réaction..
Je pense, [mais je n'en suis pas certain], que lorsque j'étais jeune, j'aurais accepté (en souriant) le supplément.... puis je serai parti sans manger.... et sans payer.... À chacun sa façon de blaguer....
Et toi Marcel qu'as-tu répondu ou fait ?
Invité- Invité
Re: Mon nom est Immeghar
Je pense que je ne m'étais pas encore assis, car on m'avait déjà répondu ailleurs que ce n'était pas prévu au menu.
Et je pense que que je suis simplement reparti.
Dans le même ordre d'idée, il m'est arrivé une histoire similaire à Strasbourg.
Ma femme et moi, on s'était assis à la table d'un restaurant qui paraissait bien sympathique.
Ma femme a commmandé une omelette au lard, et j'ai demandé si je pouvais avoir une ommelette nature.
On nous avait répondu que c'était ABSOLUMENT IMPOSSIBLE !
Evidemment, on s'est levé et on est reparti ! De quoi être "estomaqué" !
Et je pense que que je suis simplement reparti.
Dans le même ordre d'idée, il m'est arrivé une histoire similaire à Strasbourg.
Ma femme et moi, on s'était assis à la table d'un restaurant qui paraissait bien sympathique.
Ma femme a commmandé une omelette au lard, et j'ai demandé si je pouvais avoir une ommelette nature.
On nous avait répondu que c'était ABSOLUMENT IMPOSSIBLE !
Evidemment, on s'est levé et on est reparti ! De quoi être "estomaqué" !
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Marcel Couchot : 15-06-1938. ESAA Nîmes. Rejoint le 620è GAS à In-Amguel dans le Hoggar le 24/04/1962 comme Sous-Lieutenant. Affecté à la BMDD, participe à l'expérience BERYL à In Eker du 01/05/1962. Resté sur le site jusqu'en Avril 1963.
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