PERDU IN N.Y.
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PERDU IN N.Y.
Ceci est l'histoire tragique
De trois français à New York
Cette ville paumée pleine de flics
Qui règnent en maître sur New York
Nos français y se promènent
Dans des rues sombres et tristes
Si tristes qu'ils ne les aiment
Cette histoire est trop triste
New York, ville du monde
Que tu es grise
Que tu es immonde
Prise dans la brise
Ils croisent des gens fous
Et veulent rentrer chez eux
Eux qui rêvent de tout
Du bonheur si heureux
Mais ici tout est moche
Et les gens pleurent dehors
Dehors comme des Gavroche
Et la vie est sport
New York, vile du monde
Que les gens pleurent
Sur leurs malheurs
Que tu fais immondes
Dans le Bronx, les voilà
Et perdus ils sont
La langue ne comprennent pas
Et ils tournent en rond
Par chance passe un Cadien
Il leur cause français
Ils le jettent comme un chien
Et c'est pas futé
New York, ville du monde
Jamais n'irai
Voir si tu es
La plus immonde
Par des flics sont ramassés
A l'ambassade conduits
Et en France expédiés
Par un avion gratuit
France aimée, tu es belle
Jamais ne te quitterais
Pour une ville de poubelles
Et chez moi je resterais
New York, ville du monde
Tu ne vaux Paris
Avec ses belles blondes
A qui je souris
Poème composé durant mon séjour à New-York
De trois français à New York
Cette ville paumée pleine de flics
Qui règnent en maître sur New York
Nos français y se promènent
Dans des rues sombres et tristes
Si tristes qu'ils ne les aiment
Cette histoire est trop triste
New York, ville du monde
Que tu es grise
Que tu es immonde
Prise dans la brise
Ils croisent des gens fous
Et veulent rentrer chez eux
Eux qui rêvent de tout
Du bonheur si heureux
Mais ici tout est moche
Et les gens pleurent dehors
Dehors comme des Gavroche
Et la vie est sport
New York, vile du monde
Que les gens pleurent
Sur leurs malheurs
Que tu fais immondes
Dans le Bronx, les voilà
Et perdus ils sont
La langue ne comprennent pas
Et ils tournent en rond
Par chance passe un Cadien
Il leur cause français
Ils le jettent comme un chien
Et c'est pas futé
New York, ville du monde
Jamais n'irai
Voir si tu es
La plus immonde
Par des flics sont ramassés
A l'ambassade conduits
Et en France expédiés
Par un avion gratuit
France aimée, tu es belle
Jamais ne te quitterais
Pour une ville de poubelles
Et chez moi je resterais
New York, ville du monde
Tu ne vaux Paris
Avec ses belles blondes
A qui je souris
Poème composé durant mon séjour à New-York
Invité- Invité
MacGyver- Consultant
- Nombre de messages : 1521
Age : 79
Localisation : PARIS
Date d'inscription : 07/01/2008
Re: PERDU IN N.Y.
De 1990 à 2004, j'y allais régulièrement, pour mon job, mes séjours ne duraient jamais plus de quinze jours. Suffisamment toutefois pour visiter Manhattan de Central Park au Sud et d'avoir eut le privilège de déjeuner au 104e étage de la 2 éme Twin Tower, en plein dans les nuages.
MacGyver- Consultant
- Nombre de messages : 1521
Age : 79
Localisation : PARIS
Date d'inscription : 07/01/2008
Re: PERDU IN N.Y.
Camille,
J'y étais du 1er mars au 31 juillet 1992. J'ai pratiquement fait toutes les rues à pied. Et notre école avait des bureaux dans l'une des Twins vers la mi-hauteur si je me souviens bien. Très impressionnante vue. De bons souvenirs malgré des galères et ma "haine" des Ricains.
As-tu visité l'ONU ?
J'y étais du 1er mars au 31 juillet 1992. J'ai pratiquement fait toutes les rues à pied. Et notre école avait des bureaux dans l'une des Twins vers la mi-hauteur si je me souviens bien. Très impressionnante vue. De bons souvenirs malgré des galères et ma "haine" des Ricains.
As-tu visité l'ONU ?
Invité- Invité
Re: PERDU IN N.Y.
Je n'ai pas visité "LE MACHIN" et je vais t'avouer que ça ne m'a pas tenté du tout, j'ai pourtant une amie, rescapée du 11 septembre, qui habite tout à côté et il ne lui est jamais venu à l'idée de me le proposer, nous avions peut-être tord.
Voici une carte postale de mon hôtel préféré LE GRAMERCY PARK HOTEL.
Sa célébrité tient au fait que Lauren Bacall et Humphrey Bogart y ont, en 1945, célébré leur noce et passé leur nuit de noce. Et je me suis toujours demandé si des travaux y avaient été effectués depuis. Le personnel était odieux à un point que s'en était irréel, il fallait se pincer pour le croire.
Les hôtels parisiens ont la réputation de n'être pas très accueillants, mais c'est de la petite bière par rapport à ceux de New York, hormis évidemment les palaces où tout est impersonnel.
Dans cet hôtel, mon jeu préféré, mais il fallait être décontracté, consistait à essayer de prévoir la prochaine avanie du personnel. Par exemple au restaurant vont-ils nous apporter la carte ou faut-il aller la chercher sur la desserte ? Et bien il fallait aller la chercher.
En réalité son charme principal était l'accès au parc, le seul privé de la ville.
Malheureusement je ne pourrai plus y retourner il vient d'être vendu, comme le Plaza le sera, par appartement.
Voici une carte postale de mon hôtel préféré LE GRAMERCY PARK HOTEL.
Sa célébrité tient au fait que Lauren Bacall et Humphrey Bogart y ont, en 1945, célébré leur noce et passé leur nuit de noce. Et je me suis toujours demandé si des travaux y avaient été effectués depuis. Le personnel était odieux à un point que s'en était irréel, il fallait se pincer pour le croire.
Les hôtels parisiens ont la réputation de n'être pas très accueillants, mais c'est de la petite bière par rapport à ceux de New York, hormis évidemment les palaces où tout est impersonnel.
Dans cet hôtel, mon jeu préféré, mais il fallait être décontracté, consistait à essayer de prévoir la prochaine avanie du personnel. Par exemple au restaurant vont-ils nous apporter la carte ou faut-il aller la chercher sur la desserte ? Et bien il fallait aller la chercher.
En réalité son charme principal était l'accès au parc, le seul privé de la ville.
Malheureusement je ne pourrai plus y retourner il vient d'être vendu, comme le Plaza le sera, par appartement.
MacGyver- Consultant
- Nombre de messages : 1521
Age : 79
Localisation : PARIS
Date d'inscription : 07/01/2008
Re: PERDU IN N.Y.
Camille,
Je sens qu'on a des souvenirs à échanger sur New York. Je viens ici apprendre ce que mon père, et vous donc, a vécu au Sahara et je me retrouve à échanger sur New York. Le monde est petit !
Je sens qu'on a des souvenirs à échanger sur New York. Je viens ici apprendre ce que mon père, et vous donc, a vécu au Sahara et je me retrouve à échanger sur New York. Le monde est petit !
Invité- Invité
Re: PERDU IN N.Y.
Petit ? Oui petit, mais comme j'ai tout fait pour l'arpenter de long en large, au point qu'il me reste encore aujourd'hui quelque 345 000 miles-primes à utiliser chez Air-France, j'ai forcément des bribes de souvenirs qui trainent un peu partout.
Aussi, nous pourrons parler du chou pourri de Corée ou du Blues de Chicago et du Tango de Buenos Aires.
Au risque de me répéter, le gout des voyages, aériens si possible, me vient de mon séjour à IA. C'est donc avec une grande constance et un bel acharnement, que je sautais sur la moindre occasion.
Mais je ne voudrais pas ennuyer avec ça et paraître trop pédant, je me propose néanmoins de vous poster le maximum de photo et de vous préparer quelques vidéos.
Aussi, nous pourrons parler du chou pourri de Corée ou du Blues de Chicago et du Tango de Buenos Aires.
Au risque de me répéter, le gout des voyages, aériens si possible, me vient de mon séjour à IA. C'est donc avec une grande constance et un bel acharnement, que je sautais sur la moindre occasion.
Mais je ne voudrais pas ennuyer avec ça et paraître trop pédant, je me propose néanmoins de vous poster le maximum de photo et de vous préparer quelques vidéos.
MacGyver- Consultant
- Nombre de messages : 1521
Age : 79
Localisation : PARIS
Date d'inscription : 07/01/2008
Re: PERDU IN N.Y.
Envoie, envoie des photos, Mac. Cela fait toujours rêver.
Je vais vous dire, au risque de vous défriser un peu, les globes-trotters, mais moi je ne me suis jamais perdu dans nevyorque.
Si je devais me rendre aux states, ce ne sont pas ces villes qui m' intéresseraient, mais la ruralité. Comment font-ils pour tuer le cochon, eux qui bouffent comme des cochons. Elèvent-t-ils des lapins. Ben non s' ils ont des ascendances teutonnique ( ta mère ). Font-ils les neuf heures. Avec des tartines de sardines à l' huile trempées dans la bière....
Je ne sais pas si vous sentez ce soupçon de mépris pour les ricains... Qui ne sera jamais qu' à hauteur de cheville de celui qu' il nous porte.
Je vais vous dire, au risque de vous défriser un peu, les globes-trotters, mais moi je ne me suis jamais perdu dans nevyorque.
Si je devais me rendre aux states, ce ne sont pas ces villes qui m' intéresseraient, mais la ruralité. Comment font-ils pour tuer le cochon, eux qui bouffent comme des cochons. Elèvent-t-ils des lapins. Ben non s' ils ont des ascendances teutonnique ( ta mère ). Font-ils les neuf heures. Avec des tartines de sardines à l' huile trempées dans la bière....
Je ne sais pas si vous sentez ce soupçon de mépris pour les ricains... Qui ne sera jamais qu' à hauteur de cheville de celui qu' il nous porte.
MEDRANO- Membre d'honneur
- Nombre de messages : 2941
Age : 80
Localisation : Auvergne
Date d'inscription : 05/01/2008
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