LES NOUVELLES AVENTURES DE LA B...

Bonne idée, Mac !
Juste avant mon départ, je vous laisse ce nouvel espace d'expression ...
Faites en n'importe quoi, comme d'hab !!!

Chouette !!!!! Un nouveau terrain de jeux !!!!!!!!!!

J'inaugure le square Laperrine.

Petit tour sur Wikipédia pour en savoir plus sur les Touaregs. Voici ce que j'ai trouvé (juste un extrait...) :

La société touareg était très hiérarchisée, on peut rapidement classer les individus dans les catégories suivantes :

* Imajaghan : tribus nobles ;
* Imrad : tribus vassales ;
* Ineslemen : tribus maraboutiques (au singulier ineslem signifie « musulman ») ;
* Inaden : forgerons noirs ;
* Irawellan : anciens captifs touareg ;
* Iklan : esclaves noirs (au singulier akli signifie « noir ») ;
* Bellas : esclaves libérés de langue Songhaï ;
* Bouzou : esclaves libérés de langue haoussa.

Questions :

- pourquoi ils disent que la société Touareg ETAIT très hiérarchisée ? et ensuite ils repassent au présent en mettant : ON PEUT rapidement classer.....

- Zawiya, ce sont les fameux clans dont tu parlais ?

- et la dernière : il y a des esclaves ????

Il y avait des esclaves dans des tribus berbères. Ce sont les mêmes tribus qui vendirent des esclaves aux européens pendant la période négrière. Eux et des tribus d'Afrique Noire qui récupéraient des armes pour lutter contre les autres tribus.
Je ne pense pas que cela continue aujourd'hui. Za, dis-nous tout...

il y a pas mal d'erreurs dans ce classement qui ne veut rien dire parce qu'il a pris des éléments répartis dans l'ensemble du désert et cela n'a plus de sens. C'est beaucoup plus vaste et compliqué que cela. Dans l'ordre, les touaregs sont divisés en plusieurs classes (qui contiennent elles aussi des divisions) et castes (déclinées elles aussi) :
- les suzerains ou nobles (Imourhar), à caractère guerrier et ne pratiquant pas le travail manuel
- les vassaux (imrad), généralement pasteurs
- les esclaves et les serviteurs (iklan), razziés ou achetés au Soudan
- les haratins, hommes libérés, venus du Touat, ils cultivent la terre
Ensuite il y a les confédérations de tribus, dirigées par l'aménokal (un règnant nommé dans la lignée noble de la mère, il n'a pas un pouvoir absolu mais il réparti les pâturages, fait la justice et règle les conflits). Par exemple dans l'ahaggar il y a les Kel Rela (les gens de Rela) tribu noble descendant directement de l'aménokal (Darhmanou est de cette tribu) qui compte 13 tribus. Il y a 3 confédérations. Même principe pour l'ensemble du désert, ce qui donne une multitude de confédérations et tribus
Quand on dit que la société était très hiérarchisée, c'est vrai. Au présent il n'en est plus ainsi depuis que les différents colons ont pris possession de ces territoires. Pour la France c'était l'Algérie. Bien que je connaisse des descendants d'esclaves qui sont toujours attachés aux familles nobles, mais ils sont libres. Ce sont toujours eux qui cultivent, ils ont ce savoir. Chacun connait toujours sa place mais le modernisme a chamboulé tout çà. Il faut entendre par esclave, des hommes qui ont été effectivement enlevés du Soudan en grande majorité et qui faisaient partie intégrante de la famille, les mêmes droits, la même culture. Ils étaient d'ailleurs chargés de l'éducation des enfants. Ils pouvaient se marier et avoir des enfants. Parfois leur liberté leur était rendue, ils ont donc constitués des groupes qui entrent dans l'organisation de cette société. Leur statut ne faisait pas lieu d'inhumanité, par exemple ils ne pouvaient être affranchis trop jeune ou vieux du fait de leur incapacité à subvenir à leurs besoins ; et si l'un d'eux ne pouvait plus travailler il restait au sein de la famille. Ils pouvaient demander de changer de maître. Ils n'étaient pas esclaves au même titre que l'europe ou l'amérique. D'ailleurs le mot Iklan ne signifie pas esclave. Les imourhar ne méprisent pas les hommes différents d'eux, ils leur devaient protection et nourriture. Je ne dénie pas le fait que ces êtres humains faisaient l'objet d'un trafic que l'on connait bien, mais au sein de cette société ils y trouvaient leur place, des imourhar se mariaient d'ailleurs avec eux. La mère de Darhmanou est issue des nobles et son père est noir.
Je nommerai le forgeron et sa femme qui avait (et a toujours) une place importante. Ils pouvaient dirent ce qu'ils voulaient à leurs maîtres, même les insulter. Ils étaient un des piliers du campement du fait qu'ils maîtrisaient le feu, le métal. Ce sont eux qui réalisent le matériel mais aussi tous les bijoux. D'ailleurs on dit le forgeron et non le bijoutier.
Je te rassure Valou tout cela est fini, mais ce n'est pas toujours en mieux. Les femmes imourhar ont hésité à envoyer leurs enfants à l'école. Par contre les serviteurs l'ont fait. Ce sont eux qui sont au pouvoir dans des pays comme le Mali ou le Niger. Ils massacrent les nomades sous le couvert qu'ils ont été des esclavagistes. Sauf que maintenant ce n'est plus la même donne. Certains de ces pays possèdent des richesses en sous-sol, et leurs gouvernements ne veulent pas partager, et la corruption est là. Pour ce qui est de l'Algérie j'ose espèrer qu'il n'en sera jamais ainsi. Pour les hommes mais aussi pour l'environnement.
J'avoue que je n'y comprend plus rien à l'homme.

Merci beaucoup Zawiya pour avoir éclairer ma lanterne ! Tes connaissances sont une vraie mine d'or !

Ce nouveau titre m' amuse beaucoup. ça donne envie de commencer un récit par : " Il était une fois une b.... "

Reste plus qu' a trouver un peu d' inspiration. Allo Bachoun ?

MEDRANO a écrit:Ce nouveau titre m' amuse beaucoup. ça donne envie de commencer un récit par : " Il était une fois une b.... "

Reste plus qu' a trouver un peu d' inspiration. Allo Bachoun ?

Je continue ! Et chacun(e) est invité à mettre sa phrase pour faire la suite !

Allez, je me lance ! Quand Valou est en plein délire...

"Il était une fois, une b... qui se promenait dans le grand Désert du Sahara. Elle n'avait pour seul ami qu'un dromaludaire à deux bosses qui portait les victuailles. Et la brave b... marchait, marchait, marchait... quand soudain, surgit au loin, un petit... tyrolien ! Sac-à-dos, avec plein d'entrain et qui chantait : La la la ylou la, lala la ylou ylou !

.....de la bande à Camille (mouais, on y entend ce que l'on veut !)

Pardon Valou j'ai cassé l'histoire, on a posté en même temps

Non non ! au contraire ! Tout va bien ! Le petit tyrolien vient de la bande à Camille, tout colle !!!!!!

Ou vas-tu turlututu avec ton chapeau pointu et ta plume oq. demanda la b.... au petit tyrolien qui tyroliait. Tu n' entend donc pas que tu abimes le silence des abimes en youlant sur ton vélo ?.... Eteint ta chaine. Toi qui vient d' un pays ou les Papas séquestrent leurs enfants pendant 24 ans et leur font six enfants. Ammène le ton con patriote, on va lui couper et l' ensâbler.

ça n'aura ni queue ni tête mais comme ma b... se prend pour une barbe on ajoute ça :
Il était une fois une b... qui se prenait pour une barbe, ça arrive même aux b... les mieux pendues aux mentons.
En l'occurrence cette b... là pendait au menton du professeur Merry Christmas, citoyen britannique et professeur de barbologie analytique à la Sorbonne.
La fille du professeur Christmas s'appelait Carole, adorait chanter pour les fêtes de noël et était amoureuse d'un tueur américain chauve qui ne souriait jamais.
Le tueur américain qui était un vétéran de la campagne de Filekistan où il avait servi sous les ordres du général Motors s'était retiré en Californie au ranch de la betterave maudite pour y étudier la formation des b... sous l'effet de l'érosion due au sable projeté par les vents violents.
À suivre...

Arrivé à Tam, la b.... repèra rapidement son hôtel parmis les tours copiées sur celles de la Défense. Histoire d' y voir. Là elle prit l' ascenseur qui la menait au dix-huitième étage. La chambre 180014. Merveilleux décor style Louis XV qui était venu en villégiature l' année ou le feu gela. De là on pouvait voir la b... à Camille ( l' aurait pu mettre au moins un slip le bougre ) et par temps clair la Tir d' Iff ( pour les non initiés, la Tour Eiffel ). Notre b... en conçut un grand réconfort . Le jacousy lui permit de se décontracter... De débander quoi... En reufléchissant à ses activités du lendemain : monter à l' assez de crème à quatre pattes.... Pffff !!!! une b.... à quatre pattes ! Pourquoi pas un iule aussi.

"l' assez de crème "
Là c'est fort, je te tire mon chapeau. D'ailleurs ce chapeau vient de la b....à Camille qui se couvre lorsque le soleil tape fort, ce qui fait bien marrer les dromadaires qui ont fait depuis llongtemps la comparaison avec celles de l'assez crème

Mise à jour de notre récit pour s'y retrouver :

Il était une fois, une b... qui se promenait dans le grand Désert du Sahara. Elle n'avait pour seul ami qu'un dromaludaire à deux bosses qui portait les victuailles. Et la brave b... marchait, marchait, marchait... quand soudain, surgit au loin, un petit... tyrolien ! Sac-à-dos, avec plein d'entrain et qui chantait : La la la ylou la, lala la ylou ylou !
.....de la bande à Camille (mouais, on y entend ce que l'on veut !)

Le petit tyrolien vient de la bande à Camille, tout colle !!!!!!
Ou vas-tu turlututu avec ton chapeau pointu et ta plume oq. demanda la b.... au petit tyrolien qui tyroliait. Tu n'entends donc pas que tu abîmes le silence des abîmes en youlant sur ton vélo ?....
Éteints ta chaîne. Toi qui viens d' un pays où les Papas séquestrent leurs enfants pendant 24 ans et leur font six enfants.
Amène le ton con patriote, on va lui couper et l' ensabler.

Il était une fois aussi une b... qui se prenait pour une barbe, ça arrive même aux b... les mieux pendues aux mentons.
En l'occurrence, cette b... là pendait au menton du professeur Merry Christmas, citoyen britannique et professeur de barbologie analytique à la Sorbonne.
La fille du professeur Christmas s'appelait Carole, adorait chanter pour les fêtes de noël et était amoureuse d'un tueur américain chauve qui ne souriait jamais.

Le tueur américain qui se nommait Noilly Prat était un vétéran de la campagne de Filekistan où il avait servi sous les ordres du général Motors et s'était retiré en Californie au ranch de la betterave maudite pour y étudier la formation des b... sous l'effet de l'érosion due au sable projeté par les vents violents."

"Vous vous êtes vus quand vous n'avez pas bu" dit la b…., que tout le monde surnommait "Mooring", au petit tyrolien de la bande à Camille dit "Belle-peau", tout en descendant du menton du professeur Merry pour offrir de l'eau au petit teuton, car en réalité il n'était tyrolien que par le jeu de divers traités, ces ancêtres venaient de Germanie du nord.

Arrivée à Tam, la b.... repéra rapidement son hôtel parmi les tours copiées sur celles de la Défense.
Histoire d'y voir.
Là elle prit l'ascenseur qui la menait au dix-huitième étage.
La chambre 180014. Merveilleux décor style Louis XV qui était venu en villégiature l'année où le feu gela.
De là on pouvait voir la b... à Camille ( l'aurait pu mettre au moins un slip le bougre ) et par temps clair la Tir d'Iff (pour les non initiés, la Tour Eiffel ). Notre b... en conçut un grand réconfort .

Le jacousy lui permit de se décontracter... De débander quoi...
En reufléchissant à ses activités du lendemain : monter à l'assez de crème à quatre pattes.... Pffff !!!! une b.... à quatre pattes ! Pourquoi pas un iule aussi.

Si nous récapitulons notre b… à Camille ; poursuivie par Noilly Prat le tueur à gage américain amoureux de Carole qui lui susurrait de si beaux chants de noël ; venait de poser un pied à Tam et se régalait de crème Chantilly parfumée au sirop de camembert algérien au lait caillé.

Mais dehors, la foule grondait car des Talibans, venus d’on ne sait où, venaient de rentrer dans l’hôtel et menaçaient de pendre tout le monde.

Le chef de la police de Tam cernait l’hôtel et avertissait qu’il ne répondait pas de la sécurité de la b… à Camille car il savait que les secrétaires de l’hôtel étaient déjà pendues à leurs téléphones et les journalistes pendus à ses lèvres et il craignait par dessus tout que les Talibans ne dépendissent les jambons fumés que la b… à Camille avait pendus dans sa chambre et ne les jetassent sur la foule qui grondait de colère derrière les cordons de police cernant l’hôtel.

On sentait bien qu’une force nouvelle inconnue supérieure et puissante allait se manifester si les Talibans venus d’on ne sait où décidaient de se saisir de la b… à Camille.
À suivre ...

Suite de notre feuilleton :
Tout à coup, un 4x4 de douze tonnes vint se garer en marche arrière derrière l’hôtel, (comment l’avait on laissé passé celui-là) il arrivait tous feux éteints ; ce qui était plutôt normal étant donné qu’il était pile midi ; depuis l’ancien site d’essais nucléaires d’In Eker.

Bien qu’il fût midi, vous le saviez déjà, le ciel s’obscurcit comme s’il s’était agi d’une éclipse solaire et bientôt l’hôtel fut enveloppé d’une étrange lumière violette qui ondulait en ondes phosphorescentes.
L’hôtel semblait trembler sur ses bases puis il commença à se dissoudre devant les yeux ébahis de la foule devenue silencieuse.

Un immense nuage de poussière s’éleva tandis que le sol se mettait à vibrer au rythme de la Paimpolaise que la fanfare de Tam venait tout à trac d’entonner en do dièse mineur.

Quand le nuage se dissipa la foule du se rendre à l’évidence, l’hôtel et la b… à Camille avaient disparus et l’on pouvait voir au loin briller sous le soleil revenu les feux rouges éteints du 4x4 des Talibans qui s’enfuyaient en direction du sud.

La b..., nonobstant ces quelques péripéties inérantes à tous voyage au long cours. Avait plus d' un tour dans son sac. Genre de besace attachée sous son cou appelé gesticules. Parce qu' en général ils vont par Père. La b... portait sur elle tout le petit nécessaire anti-T' a le Liban. Et pute ainsi échapper à la destruction de la tour infernale, que même là aussi y en avait deux.
Elle ( la b.... ) remit au goût du jour son projet de voir l' assez crème et de visiter l'air mite âge du Père de Foucault, de corvée, de chiottes, demain matin, debonne heure, de bonne humeur, de préférence. Et elle a trouvé sabot la b... Ce qui lui évita par la suite de se tordre de rire et les pieds dans les cailloux. On pouvait voir la pâle réplique de la b... à Camille et la photo que notre copain nous a prétée pour la regarder sur le fort homme. Elle se mit à la recherche de quelque chose à se mettre sous l' Adam. Et n' eut comme choix qu' une chèvre et un cactus. Elle écarta l' idée de festoyer avec le second de peur de représailles avec les légionnaires. Et ce fut donc la chèvre qui gagna une partie gratuite et le bon anus.

Rigolade du soir, bonsoir !

En faisant des recherches sur des images du Pic Laperrine (dans Google image), je suis tombée (sans me faire trop mal) sur la photo de mon Papa... et quand j'ai cliqué dessus, surprise !!!! On arrive directement sur ce fameux sujet : les nouvelles aventures de la B...

Pour preuve, tappez "le pic laperrine" et c'est en page 6...

Je ne peux pas vous faire un copier/coller car il y a une autre photo à côté de celle de Papa et je ne suis pas certaine que son propriétaire soit d'accord pour la voir apparaître ici... alors dans le doute...