Assekrem
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Georges- Membre d'honneur
- Nombre de messages : 8178
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Re: Assekrem
Il semble me souvenir qu'en présence d'un obstacle prévisible, il fallait pomper sur la pédale de frein; en cas d'urgence la pression sur la pédale se faisait au maximum. Il y avait aussi le retropédalage.
Alain P- Nombre de messages : 7787
Age : 83
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 07/02/2009
Re: Assekrem
À l'armée en dernier j'avais conduit un vieux 4x4 en remplacement du Renault de piste (car on n'avait récupéré que des cassons) je ne sais pas d'où il pouvait sortir car il n'était pas peint en Saharien et ensuite dans le civil un 6x6 nous servant de ravitailleur de fuel pour les engins je ne me rappelle pas du freinage rien à voir sans doute avec les Berliet qui à l'époque étaient le meilleur dans ce domaine pour déménager les bases d'Allemagne je me suis vu confier un Mercedes zéro pour le freinage aussi bien que de porter un peu plus lourd il dandinait de gauche à droite que le Berliet portait bien la charge après j'ai us l'occasion dans le civil de piloter un Mercedes 4x4 benne pour passer il passait mais lorsqu'il fallait lever la benne c'était un autre problème un chauffeur l'avait d'ailleur couché en 6x4 le Mercedes passait mieux que le GBH on n'avait pas le problème du 4x4 lorsque l'on bennait mais pour charger on revenait au même problème aussi bien que pour le freinage
Michel- Nombre de messages : 8969
Age : 77
Localisation : LANNEMEZAN
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Qui l'eut cru ?
A l'Assekrem, l'ermitage, un des lieux les plus connu du Sahara n'a finalement été que fort peu fréquenté par Charles de FOUCAULT si l'on en croit Léon LEHURAUX (*).
Voici ce qu'il en dit dans son premier ouvrage Sur les pistes du désert, Plon, 1928.
Censuré : l'OCR en ligne c'est pas ça
Voir plus bas
(*) Léon LEHURAUX était un officier méhariste, écrivain et ethnologue, né à Aniche le 29 décembre 1885, décédé le 8 juin 1956.
Voici ce qu'il en dit dans son premier ouvrage Sur les pistes du désert, Plon, 1928.
Censuré : l'OCR en ligne c'est pas ça
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(*) Léon LEHURAUX était un officier méhariste, écrivain et ethnologue, né à Aniche le 29 décembre 1885, décédé le 8 juin 1956.
Dernière édition par J.J.O. le Jeu 27 Juin - 11:03, édité 1 fois (Raison : Mauvaise traduction OCR)
Re: Assekrem
JJ, tu as utilisé un transcripteur ? pas mal !!!
Bon, on a tout compris quand même !!!
Bon, on a tout compris quand même !!!
_________________
Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: Assekrem
En cherchant ton texte pour éventuellement le corriger, je suis tombé là dessus
Pas mal du tout, et hyper documenté !!!
Pas mal du tout, et hyper documenté !!!
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Alain VEIL
In Amguel 63/64
PA 325 Télétype Météo
-Vous voyez là ? Au bout , y a une extrémité.
-Vous n'ignorez pas que le défi métabolise les changements motivationnels dans le bon sens. (JMR)
-Il faut faire en sorte de laisser une trace sur la terre même quand ton ombre aura disparu..
-Plus le temps passe, et plus je suis attaché aux vraies valeurs de la République .... mais je pense que je suis un homme du passé !
Re: Assekrem
C'est carrément dégueulasse ce truc.Alain a écrit:JJ, tu as utilisé un transcripteur ? pas mal !!!
Bon, on a tout compris quand même !!!
J'étais en train de corriger ce post. Le voici :
A l'Assekrem, l'ermitage, un des lieux les plus connu du Sahara n'a finalement été que fort peu fréquenté par Charles de FOUCAULT. Il n'y serait resté que deux mois si l'on en croit Léon LEHURAUX , une référence en matière d'histoire saharienne (*).
Voici ce qu'il en dit dans son premier ouvrage Sur les pistes du désert, Plon, 1928.
L. Lehuraux a écrit:Le Père Charles de Foucauld résida dans cet ermitage [à Tam] jusqu'au commencement de l'année I9I6.
Entre temps, en 1910, il avait fait construire une maisonnette au sommet d'un plateau élevé du massif du Hoggar, sur l'Asekrem, à trois mille mètres d'altitude, on il comptait se retirer une partie de l'année
non par un besoin de solitude ou pour satisfaire manie d'anachorète, mais pour se livrer des études scientifiques et relever des observations astronomiques.
II ne fit qu'un très court séjour en cet endroit car le domestique qui l'y avait accompagné ne voulut point y rester et aucun autre n'accepta de le remplacer.
L'existence, an milieu des mouflons, des chacals et des rats, était trop sévère pour attirer qui que ce fût et après deux mois de travail sur les hauts sommet, le Père dut abandonner, a regret, la petite maison de l'Asekrem et rentrer Tamanghasset qu'il ne quitta plus jusqu'à sa mort.
La première habitation de Ch. de Foucault à Tam
Re: Assekrem
Alain a écrit:En cherchant ton texte pour éventuellement le corriger, je suis tombé là dessus
Pas mal du tout, et hyper documenté !!!
Très bien. J'apprends que ce que nous avons vu c'est une reconstitution entreprise en 1954, achevée en 1956.
Ch. de Foucauld n'aurait donc résidé à l'Assekrem que de Juillet à Noël 1911.
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